Méditation de la Parole de Dieu du 14 au 20 Septembre 2014

**maryline** Dim 14 Sep 2014 - 16:30

En ce 24^ème dimanche du Temps Ordinaire, nous fêtons et nous vénérons la croix glorieuse de notre Seigneur. L’on pourrait bien se demander pourquoi fêter la croix du Christ. Le vendredi saint ne suffit-il pas pour se rappeler des tristes événements qui ont conduit notre Seigneur à une mort atroce ?

Si nous nous arrêtons tout simplement à l’atrocité de cette mort, il y a lieu de se poser toutes ces questions. Mais en réalité, tout ne s’est pas arrêté à sa mort, elle a été suivie de la résurrection. Et ce n’est qu’à la lumière de cette résurrection que nous contemplons cette mort et tout le bénéfice qu’elle nous a apporté. C’est cette mort en effet, qui nous a guéris et nous a sauvés des conséquences mortelles de notre péché, nous donnant ainsi d’avoir part à la vie éternelle : « …ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé, afin que tout homme qui croit obtienne par lui la vie éternelle » (Jn 3,14-15).

C’est donc avec le cœur plein de reconnaissance, que nous vénérons le bois de la croix qui nous a réconciliés avec Dieu notre Père. Puisse cette même attitude nous accompagner dans notre relation avec le Christ tout au long de cette semaine.

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**maryline** Dim 14 Sep 2014 - 16:40

LUNDI 15

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Textes à lire : He 5, 7-9 ; Ps 31(30) ; Lc 2,33-35 ou Jn 19,25-27
Notre Dame des douleurs

Lecture : Aujourd’hui, nous célébrons la mémoire de Notre-Dame des Sept Douleurs. Après la croix glorieuse du Christ, l’Église fait mémoire de l’écho de la passion de Jésus dans le cœur de Marie sa mère. Nous prolongeons en quelque sorte la contemplation de la souffrance mortelle du Christ qui nous a valu le pardon de nos péchés et la réconciliation avec Dieu. Notre regard se fixe aujourd’hui sur sa mère, c’est-à-dire, celle dont le cœur a été transpercé par une épée de douleur, lorsqu’elle suivit son fils unique sur le chemin du calvaire, assista à sa crucifixion et prit entre ses bras son corps inerte. C’est précisément la raison pour laquelle, les lectures de ce jour se centrent une fois de plus sur la passion de Notre Seigneur.

Dans la première lecture, l’écrivain sacré revient sur l’agonie de Jésus au jardin des oliviers (Cf. Mt 26,36-46) et ce qui est intéressant pour nous ici, c’est la lecture qu’il fait de cet événement. À quelques heures seulement de son arrestation, Jésus a ressenti de l’angoisse et de la tristesse. Il était même tenté de se dérober de sa passion et c’est la raison pour laquelle il a d’abord demandé au Père s’il pouvait faire passer cette coupe loin de lui, en insistant tout de même que ce soit sa volonté (celle du Père) qui s’accomplisse et non la sienne. Et c’est dans cette prière instante et ce combat pour se soumettre à la volonté de son Père qu’il entre en agonie. En fin de compte, le Père exauce sa prière en lui accordant la grâce d’affronter sereinement sa passion jusqu’à la mort et en le ressuscitant le troisième jour. C’est de cela que l’auteur de l’Épître aux Hébreux nous parle lorsqu’il nous dit au verset 7 : « ayant présenté, avec une violente clameur et des larmes, des implorations et des supplications à celui qui pouvait le sauver de la mort, et ayant été exaucé en raison de sa piété ». Cet épisode de la passion du Christ est pour nous, une belle école de l’obéissance à la volonté de Dieu. Et si nous faisons mémoire de Marie aujourd’hui, c’est parce qu’elle a accompagné et soutenu son Fils dans son obéissance au Père jusqu’à la mort, par sa propre obéissance.

Au pied de la croix de son Fils, elle souffre horriblement mais, elle non plus ne se rebelle contre la volonté de Dieu. Au contraire, entre la mère et le Fils règne une forte communion dans la douleur et dans l’obéissance à la volonté du Père. Dans cette douleur qu’elle accueille dans la foi, son Fils lui confie la maternité de ses disciples : « Femme, voici ton fils » (Jn 19,25). Et c’est au milieu de ces douleurs d’enfantement que Marie offre au Père son Fils premier né, lorsqu’elle reprend son corps inerte dans ses bras. Si Jésus nous a confié à sa mère, c’est pour qu’elle nous apprenne à souffrir avec lui pour ressusciter avec lui.

Méditation de la Parole de Dieu du 14 au 20 Septembre 2014 Douleu10

Méditation de la Parole de Dieu du 14 au 20 Septembre 2014 Douleu10

Méditation : Quelle est ta relation avec Marie ? La considères-tu comme une mère qui peut t’accompagner à la suite de son Fils ? Comment réagis-tu lorsque le Christ t’appelle à te charger d’une part de sa souffrance pour le bien de tes frères ?

Prière : Seigneur Jésus, dans ta passion ta mère nous a donné un exemple d’endurance et d’abandon à la volonté du Père. Accorde-nous à son exemple, la grâce de ne pas nous rebeller contre la volonté de Dieu, surtout lorsqu’elle nous fait souffrir.

Action : Trouve un moment dans la journée, au cours duquel tu pourras contempler la souffrance de Marie au pied de la croix et lui demander d’intercéder pour toi pendant les moments difficiles de ta vie.

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Méditation de la Parole de Dieu du 14 au 20 Septembre 2014 E5651d37

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**mimose** Lun 15 Sep 2014 - 8:40

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EVANGILE DE JESUS CHRIST. Selon saint Jean (19,25-27)

notre dame des douleurs priez pour nous.

Prés de la croix de JESUS se tenait sa mère, avec la sœur de sa mère, Marie femme de Cléophas, et Marie

Madeleine. JESUS , voyant sa mère, et prés d'elle le disciple qu'il aimait, dit à sa mère:

""FEMME ? VOICI TON FILS; Puis il dit au disciple: ""VOICI TA MERE.""

Et à partir de cette heure-là, le disciple la prit chez lui.

LA PENSEE DE MARIE AU PIED DE LA CROIX A AIDE BEAUCOUP LES CHRETIENS

A TROUVER UN SENS A LEURS SOUFFRANCES.

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**maryline** Mar 16 Sep 2014 - 7:41

Mardi 16 septembre

Evangile selon St Luc, chapitre 7, versets 11 à 17
« Jeune homme, je te l’ordonne, lève-toi ! »

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Lc 7, 11-17

Les premières lignes de l’Évangile de Luc associent volontiers le verbe « visiter » et l’activité prophétique. On peut en avoir un aperçu en Lc 1,68.72 : Dieu visite son peuple (1,68) en suscitant pour lui un prophète, le prophète du Très Haut (1,72). Cette association de termes n’a rien de fortuit puisqu’elle s’enracine dans les textes de l’Ancien Testament.

Dans l’Ancien Testament en effet, le verbe « visiter » est théologiquement très orienté, puisqu’il désigne la venue de Dieu auprès de son peuple (Ps 80,15 ; 106,4 ; Sg 3,9 ; Jr 15,15). Une visite qui rime avec la venue toute prochaine du salut.

Dans l’extrait que nous lisons aujourd’hui, nous retrouvons ces deux termes. Ils sont associés dans l’intervention de la foule qui a assisté au miracle que Jésus vient d’opérer : « Un grand prophète s'est levé parmi nous et Dieu a visité son peuple » (7,16).

À priori anodine, cette remarque n’est pas sans importance si l’on s’attarde un instant sur la première action du jeune homme tout juste revenu de la mort : Que fait-il ? Il ne demande pas à boire ou à manger (Mc 5,43), il ne sert pas (Lc 4,39), mais il parle, dans son sens le plus absolu (Luc ne nous donne pas accès au contenu de ses paroles).

Or, le prophète, si l’on se base sur l’étymologie grecque, est précisément celui qui « parle devant ». Que fait le jeune homme revenu à la vie ? Il « parle devant », il devient « prophète » à son tour, parce que la puissance de salut qui l’a visité l’a arraché à l’ombre de la mort.

Par la puissance de salut qui nous a visités, nous pouvons nous-mêmes être prophètes. C’est même ce qui devrait spontanément monter à nos lèvres. Personne n’a forcé le jeune homme à parler, il parle de lui-même, devant tous ceux qui l’écoutent.

Quelle parole allons-nous proclamer aujourd’hui ? De quel salut sommes-nous témoins ?

Père Damien Etemad-Zadeh (Aix-en-Provence)

**maryline** Mar 16 Sep 2014 - 8:07

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«jeune homme, jeune femme, lève-toi! Revis! Aime à nouveau! Tu es aimé!»

**mimose** Mar 16 Sep 2014 - 10:32

EVANGILE DE JESUS CRIST.
Selon saint luc (7,11--17)
DEMANDER L'AMOUR EN PRIORITE.
Corinthiens 12, 12-14
l'invitation à rechercher les dons les meilleurs précède ""l'hymne à la charité"" (1 Co 13).
Paul met ainsi en évidence que le don à demander en priorité est l'amour- un fruit de l'Esprit.
Et cela, qu'il est question de construire l'unité de la communauté chrétienne dans le respect de la diversité
des dons de chacun. L'amour n'est-il pas la source d'un autre regard sur autrui, qui congédie
non seulement la jalousie mais aussi les systèmes de valeurs mondains qui divisent
(esclaves-hommes libres, riches-pauvres, hommes-femmes, instruits-incultes(?
UN MESSAGE QUI GARDE TOUTE SON ACTUALITE !

sœur emmanuelle billoteau

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**maryline** Mer 17 Sep 2014 - 7:47

Mercredi 17 septembre

Evangile selon saint Luc, chapitre 7, versets 31 à 35

« Ils ressemblent à des gamins assis sur la place »

L’image de ces gamins est éloquente. Aujourd’hui, on parlerait d’adolescents désœuvrés, en pleine crise, cultivant l’esprit de contradiction et rebelles à l’autorité. De gamins, Jésus nous appelle à devenir des enfants de Dieu qui reconnaissent sa sagesse en toute chose. En voyant l’ascétisme de Jean-Baptiste, ils entendront l’appel à la pénitence et à la conversion du cœur. En voyant Jésus manger et boire à la table des pécheurs, ils reconnaîtront la miséricorde de Dieu venu célébrer en son Fils son alliance avec toute l’humanité. Acquérir la sagesse, reconnaître la présence du Seigneur et son action dans nos vies et devenir de plus en plus fils et filles du Père en marche vers le Royaume. Que l’Esprit nous conduise sur cette route !

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**Anna** Mer 17 Sep 2014 - 11:51

J'aurais beau parler toutes les langues de la terre et du ciel, si je n'ai pas la charité, s'il me manque l'amour, je ne suis qu'un cuivre qui résonne, une cymbale retentissante. J'aurais beau être prophète, avoir toute la science des mystères et toute la connaissance de Dieu, et toute la foi jusqu'à transporter les montagnes, s'il me manque l'amour, je ne suis rien. J'aurais beau distribuer toute ma fortune aux affamés, j'aurais beau me faire brûler vif, s'il me manque l'amour, cela ne me sert à rien.

L'amour prend patience ; l'amour rend service ; l'amour ne jalouse pas ; il ne se vante pas, ne se gonfle pas d'orgueil ; il ne fait rien de malhonnête ; il ne cherche pas son intérêt ; il ne s'emporte pas ; il n'entretient pas de rancune ; il ne se réjouit pas de ce qui est mal, mais il trouve sa joie dans ce qui est vrai ; il supporte tout, il fait confiance en tout, il espère tout, il endure tout.

L'amour ne passera jamais.....

(1ère lecture : Hymne à la charité (1 Co 12, 31; 13, 1-13)

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**mary line** Jeu 18 Sep 2014 - 8:00

Jeudi 18 septembre

Evangile selon Luc chapitre 7, verset 36 à 50

« Celui à qui on pardonne peu montre peu d’amour »

« O Dieu, envoie-nous des fous. Qui s’engagent à fond, qui aiment autrement qu’en paroles, qui se donnent pour de vrai et jusqu’au bout.* » Qui est le plus fou, Jésus ou la femme ? Les deux. Jésus montre sa folie d’amour en pardonnant sans attendre aucune parole de repentir. Il se laisse toucher, non seulement par les gestes, mais par la détresse mêlée de tendresse. Quant à la femme, qui déverse tout son saoul de pleurs et de parfums, elle renverse la logique des sensés et arrache du cœur de Jésus ce que nul homme n’aurait pu lui donner : la grâce d’être libérée de l’esclavage du péché. Simon, écoute ce que le Christ te dit aujourd’hui et aime à la folie.

*prière du père Lebret, dominicain

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**mimose** Jeu 18 Sep 2014 - 8:27

^:)pEVANGILE DE JESUS CHRIST. Selon saint Luc (7,36-50)

ALLELUIA. ALLELUIA. Auprés du Seigneur est la grâce, en lui, toute miséricorde,
en lui toute paix. ALLELUIA. ALLELUIA.

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Méditation de la Parole de Dieu du 14 au 20 Septembre 2014 4111092088

LE DON DE DIEU.                    1Corinthiens 15, 1-11

""Mais ce que je suis, je le suis par la grâce de DIEU, et la grâce dont il m'a comblé n'a pas été stérile :je me suis donné de la peine...""
Par la reconnaissance du don de DIEU, Paul se situe dans la vérité et aux antipodes de la fausse humilité.
Mais il ne suffit pas de recevoir des dons, encore s'agit-il de les faire fructifier. Or combien de dons reçus en vain, et cela par
manque de courage, peur de l'échec ou des conflits que peut engendrer toute croissance au sein d'un groupe humain !
Voilà qui nous invite à nous interroger , pour rendre grâce, et, ou entrer dans un chemin de conversion.
                                         SOEUR EMMANUELLE BILLOTEAU.

                                                                                                  RENDEZ GRACE AU SEIGNEUR CAR IL EST BON.

**maryline** Ven 19 Sep 2014 - 8:03

VENDREDI 19 SEPTEMBRE 2014

«…si le Christ n’est pas ressuscité, vaine est votre foi »
Textes à lire : 1Co 15,12-20 ; Ps 18 (17) ; Lc 8,1-3

Lire les textes

Lecture : Hier, l’apôtre Paul nous a instruits sur l’essentiel de la foi chrétienne encore appelé le Kérygme, à savoir que le Christ a souffert, qu’il est mort, qu’il a été enseveli et qu’il est ressuscité le troisième jour. Aujourd’hui, il insiste sur la résurrection du Christ. Certains chrétiens entretiennent des doutes au sujet de cette résurrection. D’autres ont tout simplement du mal à y croire. Pour d’autres encore, qu’il soit ressuscité ou pas, cela ne change rien à leur foi. À chacun de ces chrétiens, le Christ dit aujourd’hui : « Si tu ne crois pas que je suis ressuscité d’entre les morts et que je suis vivant aujourd’hui, ta foi en moi est vaine ». En d’autres termes, ne pas croire de foi vivante que le Christ est ressuscité d’entre les morts et ne pas croire du tout en lui, c’est exactement la même chose.

Comme chrétiens, nous professons de ferme conviction que notre Seigneur et Maître Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts, et qu’il est vivant aujourd’hui au milieu de nous, et dans notre vie. Et pour cette fois, nous devons être prêts à donner notre propre vie car si Dieu l’a ressuscité d’entre les morts, il nous ressuscitera nous aussi si nous mettons notre confiance en lui. Ainsi, un chrétien ne peut plus s’imaginer que la mort soit la fin de l’homme. En effet, croire que notre vie va finir avec la mort c’est dire tout simplement que nous ne croyons pas en la résurrection du Christ. Par conséquent, notre foi en Christ est vaine, et nous ne le connaissons pas du tout. Au contraire, lorsque nous avons une expérience personnelle du Christ, il nous est impossible de douter de sa résurrection. Car si nous traitons familièrement avec lui, s’il nous parle et nous révèle les secrets de notre vie, s’il exauce nos prières, c’est qu’il est vivant. Et s’il est vivant, c’est qu’il est ressuscité. S’il est ressuscité, c’est que nos péchés sont pardonnés et Dieu qui l’a ressuscité nous ressuscitera nous aussi après notre mort. C’est de cette foi que nous sommes appelés à être des témoins vivants.

Dans l’Évangile, saint Luc nous parle des compagnons de Jésus dans sa mission d’annonce de la Bonne Nouvelle, plus particulièrement des femmes qui les aidaient (Jésus et ses apôtres) de leurs ressources. Pour réaliser sa mission, Jésus a eu besoin des services et des ressources de ces femmes. Aujourd’hui encore, pour que sa mission se poursuive, il a besoin de la générosité des hommes et des femmes qui sentent cet appel à collaborer matériellement à l’annonce de l’Évangile. Les champs de la mission de l’annonce de la Bonne Nouvelle sont vastes et diversifiés. Et chaque baptisé doit pouvoir s’insérer quelque part. Si tu ne peux pas porter directement la Parole de Dieu au cœur du monde, tu peux tout de même à l’exemple de ces saintes femmes collaborer matériellement à son annonce. Chemin faisant, tu seras entrain d’annoncer efficacement le Ressuscité.

Méditation : Crois-tu en la résurrection des morts ? Es-tu un témoin du Ressuscité ? Si oui, en quoi est-ce que ta vie manifeste aujourd’hui qu’il est vivant ?
Prière : Seigneur Jésus, toi le Ressuscité, raffermis ma foi en toi et fais de moi un témoin vivant de ta résurrection.
Action : En quoi peux-tu contribuer aujourd’hui à l’annonce de la Bonne Nouvelle ?

http://www.pistesdepriere.com/vendredi

**mimose** Ven 19 Sep 2014 - 8:15

Méditation de la Parole de Dieu du 14 au 20 Septembre 2014 3562564527

FETE DE NOTRE DAME DE LA SALETTE.

                                                                                        AUJOURD'HUI NOUS FETONS MARIE.

                     NOTRE DAME DE LA SALETTE RECONCILLIATRICE DES PECHEURS PRIEZ SANS CESSE
                                                      POUR NOUS QUI AVONS RECOURS A VOUS. AMEN.

                                                                         EVANGILE DE JESUS CHRIST.
                                                                                                                                                         Selon saint Luc (8,1-13)
JESUS passait à travers les villes et villages, proclamant la bonne nouvelle du Règne de DIEU.
Les douze l'accompagnaient, ainsi que des femmes qu'il avait délivrées d'Esprit mauvais et guéries de leurs
maladies: Maris appelée Madeleine (qui avait été libérée de sept démons) Jeanne, femme de Kouza,
l'intendant d'Hérode, Suzanne, et beaucoup d'autres, qui les aidaient de leurs ressources;

                                 ALLELUIA. ALLELUIA. TU ES BENI DIEU NOTRE PERE SEIGNEUR
                                                                    DE L'UNIVERS TOI REVELES AUX PETITS LES MYSTERES DU ROYAUME!
                                  ALLELUIA. ALLELUIA.

**maryline** Sam 20 Sep 2014 - 9:48

SAMEDI 20 SEPTEMBRE 2014

«A vous il a été donné de comprendre les mystères du Royaume»

Textes à lire : 1Co 15,35-49 ; Ps 57 (56) ; Lc 8,4-15

Lire les textes

Lecture : Dans la première lecture, saint Paul utilise l’image des semailles pour éclairer le mystère de la résurrection des corps : semé en terre, le corps qui a vécu sur cette terre se lèvera un jour, renouvelé en corps spirituel, recréé à l'image du Christ glorieux. Dans l'Évangile, Jésus utilise la même image pour nous instruire sur l’accueil que nous devons réserver à sa Parole et sur la manière de la traiter dans nos cœurs, pour qu’elle y porte beaucoup de fruits.

Comme un cultivateur, le Christ sème constamment ses paroles dans nos cœurs. Les inspirations, les lumières, les enseignements et les bons exemples que nous voyons dans les autres représentent l'effort continuel du Seigneur pour nous faire porter des fruits de sainteté. La semence que Dieu place en nous a le pouvoir de croître d'elle-même et de porter beaucoup de fruits. Tout ce que nous avons à faire c’est de créer en nous des conditions favorables à son épanouissement. Dans l’explication de la parabole, Jésus nous donne lui-même toutes ces conditions. Il s’agit principalement de ne pas donner prise au diable dans notre cœur, de lutter pour la constance dans la foi et de vivre dans la paix.

Ne pas donner prise au diable dans notre cœur revient à apprendre à discerner les mauvaises pensées et les sentiments qui viennent du diable (pessimisme, découragement, haine, violence,…) et de les repousser aussitôt, de peur qu’ils ne nous détournent de la Parole de Dieu.

Lutter pour la constance dans la foi nous exige de tenir ferme dans la Parole que nous avons écoutée de Dieu, dans les périodes de sécheresse spirituelle, tout comme dans les pires épreuves et tentations.

Enfin, pour vivre dans la paix intérieure, nous avons besoin de mener une guerre acharnée contre les soucis, les séductions de la richesse et les plaisirs mondains. En effet, très souvent nous nous créons des problèmes et nous fabriquons des chaînes. Cela nous apporte une étrange satisfaction. Peut-être sommes-nous effrayés par la liberté que le Christ nous donne, en ce que cela entraîne une grande responsabilité ? Nous préférons nous réfugier derrière le « trop de choses à faire ». Nous nous trouvons attrapés dans les devoirs de la vie sans jamais nous ouvrir réellement à la vie qui se trouve derrière ces devoirs. Quand le Christ regarde dans nos cœurs il voit de la bonne terre et des possibilités de porter de bons fruits. Mais pour que ces possibilités deviennent réalité, il a besoin de notre collaboration.

Méditation : Que fais-tu pour lutter contre les obstacles à l’action de Dieu dans ta vie ?

Prière : Seigneur Jésus, merci de ton enseignement. Je te demande de m'aider à être complètement sincère avec toi. J'accepte humblement le fait que ma vie est un don. Aide-moi à bien la vivre et à porter des fruits qui t’honorent.

Action : Aujourd'hui, je ferai un effort spécial pour surmonter toute crainte face aux demandes du Christ.

http://www.pistesdepriere.com/samedi