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Saints et Saintes du 4 avril

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Message  lily Lun 4 Avr 2011 - 15:11

Saints et Saintes du 4 avril Death215
Saints et saintes du jour


Saint Gaétan Catanoso
prêtre - fondateur de la Congrégation des Sœurs Véronique de la Sainte Face (+ 1953)Le Pape Jean-Paul II le béatifia le 4 mai 1987 et Benoît XVI le canonisa le 23 octobre 2005.
"La Messe quotidienne et l'adoration fréquente du Sacrement de l'autel furent l'âme de son sacerdoce: avec une charité pastorale ardente et inlassable, il se consacra à la prédication, à la catéchèse, au ministère des Confessions, aux pauvres, aux malades et à la maturation des vocations sacerdotales. Aux Soeurs véroniques de la Sainte-Face, qu'il fonda, il transmit l'esprit de charité, d'humilité et de sacrifice, qui avait animé toute son existence." Homélie du Pape Benoît XVI
Gaetano Catanoso (1879-1963) biographie site du Vatican.
À Reggio en Calabre, l’an 1953, Gaétan Catanoso, prêtre, qui fonda la Congrégation des Sœurs Véroniques de la Sainte Face en faveur des pauvres et pour le service des délaissés.
Martyrologe romain
«Vous devez vous rendre dans les endroits les plus isolés et abandonnés, là où les autres congrégations refusent d'aller. Votre mission consiste à récolter les épis abandonnés par les moissonneurs» Père Gaétan
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Bienheureux Joseph-Benoît Dusmet
bénédictin, archevêque de Catane (en Sicile) et cardinal (+ 1894)Né le 15 août 1818, ordonné prêtre de la Congrégation des Bénédictins du Mont-Cassin en 1842, abbé du monastère San Nicola de Catane, il devint archevêque de Catane en Sicile en 1867 puis cardinal. Il a été béatifié le 25 septembre 1988 par Jean-Paul II.
"Né à Palerme le 15 août 1818, Joseph Benoît Dusmet poursuit ses études d'Humanités et de théologie au monastère bénédictin de sa ville natale où il décide de se faire moine. Il prononce ses vœux le 15 août 1840. Puis, il est élu Abbé du monastère bénédictin de Catane en 1858. Enfin, le 22 février 1867, il est nommé évêque de Catane, et créé Cardinal en 1889. Au cours de sa carrière, il fait preuve d'une grande fermeté dans les temps agités de l'Église en Italie. Il se montre soucieux des pauvres et manifeste son dévouement au cours de l'épreuve du choléra et de l'éruption de l'Etna en 1886. L'Ordre bénédictin lui doit, pour une bonne part, la fondation du collège St Anselme à Rome et la préparation de la Confédération bénédictine souhaitée par le Pape Léon XIII. Il meurt à Catane le 4 avril 1894."
(source: figures bénédictines - monastères de Belloc et Urt)
À Catane, en Sicile, l’an 1894, le bienheureux Joseph-Benoît Dusmet, évêque, de l’Ordre de Saint-Benoît, qui favorisa avec ardeur le culte divin, la formation chrétienne du peuple, et le zèle du clergé, et prêta secours aux malades, lors d’une épidémie de peste.
Martyrologe romain
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Bienheureuse Alèthe de Montbard
Mère de Saint Bernard (+ 1105)Aleth, Alette, Alex, Elisabeth, ou Adèle.
Née vers 1070, elle était la fille du comte de Montbard en Bourgogne. Elle avait épousé, à quinze ans, Técelin, le seigneur de Fontaine, près de Dijon. Ce fut un ménage merveilleux de tendresse et de pureté. Elle donna le jour à six fils et une fille (sainte Ombeline). En raison des absences de son époux, au service du duc de Bourgogne, ce fut d'elle qu'ils reçurent leur éducation et leur foi. L'un de ses fils résume en lui les vertus de sa mère, saint Bernard, né en 1090 à Fontaine-les-Dijon dont l'austérité et la dévotion mariale viennent en droite ligne de l'exemple donné par sa mère.
Ses reliques furent transférées à Clairvaux en 1250.
Saint Isidore de Séville
Docteur de l'Eglise - Évêque et confesseur (+ 636)
Son père Severianus avait dû fuir Carthagène devant les Wisigoths qui, non contents d'être des barbares(*), avaient adopté l'hérésie arienne et persécutaient les catholiques. Il se réfugia à Séville. Ses quatre enfants deviendront des saints : Léandre, Florentine, Fulgence et Isidore. A la mort de ses parents, Isidore est encore bien jeune, mais son frère ainé, saint Léandre, devenu évêque de Séville, l'élève comme un fils. Isidore se nourrit, se gave, des livres dont regorge la bibliothèque fraternelle. En 599, à la mort de Léandre, Isidore lui succède comme évêque de Séville. Il présidera des conciles et travaillera à la conversion des Goths à la vraie foi. Son "Histoire des Goths" nous est très utile car, sans elle, nous ne saurions presque rien des Goths et des Vandales. Tout en gouvernant avec un grand dévouement son diocèse, il écrit sans relâche. Toutes les richesses de la culture classique qui ont enchanté sa jeunesse, il les sent menacées par les invasions barbares. Or ce sont des trésors qui peuvent être utiles pour une meilleure compréhension des Écritures. Il rédige donc de très nombreux ouvrages, dont le plus connu "les Étymologies" (de l'origine des choses) est une encyclopédie qui transmettra aux siècles suivants l'essentiel de la culture antique. C'est à lui, avant les Arabes, que l'Occident doit sa connaissance d'Aristote. Ce sera une des bases des études en Occident jusqu'à l'époque de la Renaissance. Il occupera le siège épiscopal de Séville durant quarante ans, y fonda de grands collèges et influença les conseils royaux. On le considère aussi comme l'un des initiateurs de la liturgie mozarabe. Il meurt dans sa cathédrale, étendu sur le sol, tout en continuant de parler à l'assistance.
(*) au sens étymologique du terme, c'est à dire parlant une autre langue que le grec.
- Le 18 juin 2008, Benoît XVI a consacré la catéchèse de l'audience générale à Isidore de Séville (560-636), défini en 653 par le concile de Tolède comme "la gloire de l'Église catholique". Ami de Grégoire le Grand, Isidore était le frère cadet de saint Léandre, évêque de Séville auquel il succéda, dans une péninsule ibérique dominée par les Wisigoths, encore de confession arienne.
Sous la conduite de son frère, a poursuivi le Saint-Père, Isidore fut rompu aux études, leur demeure disposant d'une riche bibliothèque comprenant des ouvrages philosophiques et chrétiens, d'où "un savoir encyclopédique de la culture classique païenne allant de pair avec une profonde connaissance de la culture chrétienne". Sa vie fut un continuel conflit intérieur, assez semblable à celui vécu par Grégoire le Grand, entre désir de solitude faite de méditation de la Parole et exigence du service des frères dont il avait la charge spirituelle comme évêque.
Ce Docteur de l'Église, qui avait connu l'exil dans sa jeunesse, "était plein d'enthousiasme apostolique en contribuant à former un peuple qui retrouvait enfin son unité politique et religieuse grâce à la conversion" au catholicisme du prince Erménegilde. On se saurait sous estimer l'énorme difficulté qu'il y eut à gérer la grave question des rapports avec les hérétiques et avec les juifs, des problèmes très concrets encore de nos jours lorsqu'on voit des situations assez proches de celles de l'Espagne du VI siècle dans certaines régions du monde".
Ce qui était admirable chez saint Isidore, a souligné le Pape, c'était "son attention à ne rien négliger de ce que l'expérience humaine avait pu produire dans l'histoire de son pays comme du monde..., à ne rien perdre de ce qui avait été acquis dans l'antiquité, qu'elle fusse païenne, juive ou chrétienne". Et puis, dans la discussion "des questions théologiques, il sut en percevoir la complexité, proposant souvent des solutions précises regroupant et exprimant la vérité chrétienne". Avec un réalisme de grand pasteur, Isidore de Séville a proposé une synthèse de la vie contemplative et de la vie active à l'exemple du Christ qui "se consacrait le jour à faire des miracles en ville et se retirait en prière de nuit sur une montagne". Il a montré comment aimer Dieu dans la contemplation et comment aimer le prochain dans l'action. "Cette leçon, le grand évêque de Séville, la donne aux chrétiens d'aujourd'hui, appelés à témoigner du Christ en cette aube de millénaire". Source VIS 080618 (420)
Mémoire de saint Isidore, évêque et docteur de l’Église. Disciple de son frère saint Léandre, il lui succéda sur le siège de Séville en Espagne, écrivit beaucoup d’ouvrages d’érudition, convoqua et dirigea de nombreux conciles et se livra avec sagesse au zèle de la foi catholique et à l’observance de la discipline ecclésiastique. Il mourut à Séville en 636.
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Saints et Saintes du 4 avril Defun137
Autres Saints et Saintes du Jour

Saint Isidore de Séville
Docteur de l'Eglise - Évêque et confesseur (+ 636)
Saints Agathopode et Théodore
martyrs à Thessalonique en Macédoine (+ v. 303)
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Mère de Saint Bernard (+ 1105)
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évêque de Milan et docteur de l'Eglise (+ 397)
Saint Benoît l'Africain
Frère lai franciscain (+ 1589)
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Un des enfants auxquels la Sainte
Vierge apparut à Fatima (+ 1919)
Saint Gaétan Catanoso
Saint Georges de Maleon
Confesseur (6ème s.)
Bienheureux Guillaume Cuffitelli
ermite en Sicile (+ 1404)
Saint Gwerir
prêtre et ermite en Cornouailles (?)
Bienheureux Nicolas et François
Frères mineurs, martys au Caire (+ 1358)
Sainte Pherboutha
martyre (6ème s.)
Saint Pierre II
Evêque de Poitiers (+ 1115)
Saint Platon
Fondateur du monastère de Sakkoudion en Bithynie (+ 814)
Saint Théonas
(+ 1541)
Saint Tigernach
évêque de Clogher en Irlande (+ v. 550)
Saint Zozime
(5ème s.)
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